30/06/2025
Chronique 376
Les réponses utiles à la chronique : les 2015 dix ans après, le merlot sous le feu de la critique
La rafle serait-elle l'avenir du merlot ?
Dégustations stupéfiantes de macérat de rafle !
Chronique 376 (30 juin 2025)
En réponse à cette dégustation qui avait mis le bazar dans la tête des participants, voici trois réactions.
La première vient de propriétés qui s'étonnent de ne pas voir leur vin présent. Un survol rapide les a empêchés de remarquer qu'il s'agissait d'une dégustation privée, bouteilles achetées et non pas fournies par le château. Les vins présents sont donc le choix de l'organisateur et non pas le mien. J'ajoute que cette formule de dégustation dix ans et vingt ans après, avec des bouteilles prises dans une même cave, existe depuis…vingt-cinq ans. Elle a connu un fort retentissement dans le procès « Terre de vins – Ducru Beaucaillou – Jean-Marc Quarin » lorsque j'ai publié la supériorité de Grand Puy Lacoste sur Ducru Beaucaillou.
La seconde réaction provient d'un homme de l'art, d'un cru majeur de la rive droite présent parmi les bouteilles de 2015. Ce dernier m'a confirmé avoir ressenti la même insatisfaction à l'occasion d'une dégustation de plusieurs bouteilles de son propre vin. Nous sommes tombés d'accord sur le fait que, dans de telles circonstances, l'alcool élevé nous jouait des tours. CQFD.
La troisième réaction est venue de Frédéric Massie, oenologue oeuvrant dans l'équipe de « Vignerons consultants », ex « Derenoncourt consultants ». Ce retour est une réponse technique pour pallier l'encombrante richesse alcoolique du merlot.
Depuis plusieurs années, Frédéric Massie et ses collègues revisitent l'intérêt de l'usage de la rafle du raisin et de ses mystères...
La rafle serait-elle l'avenir du merlot ?
Dégustations stupéfiantes de macérat de rafle !
Chronique 376 (30 juin 2025)
En réponse à cette dégustation qui avait mis le bazar dans la tête des participants, voici trois réactions.
La première vient de propriétés qui s'étonnent de ne pas voir leur vin présent. Un survol rapide les a empêchés de remarquer qu'il s'agissait d'une dégustation privée, bouteilles achetées et non pas fournies par le château. Les vins présents sont donc le choix de l'organisateur et non pas le mien. J'ajoute que cette formule de dégustation dix ans et vingt ans après, avec des bouteilles prises dans une même cave, existe depuis…vingt-cinq ans. Elle a connu un fort retentissement dans le procès « Terre de vins – Ducru Beaucaillou – Jean-Marc Quarin » lorsque j'ai publié la supériorité de Grand Puy Lacoste sur Ducru Beaucaillou.
La seconde réaction provient d'un homme de l'art, d'un cru majeur de la rive droite présent parmi les bouteilles de 2015. Ce dernier m'a confirmé avoir ressenti la même insatisfaction à l'occasion d'une dégustation de plusieurs bouteilles de son propre vin. Nous sommes tombés d'accord sur le fait que, dans de telles circonstances, l'alcool élevé nous jouait des tours. CQFD.
La troisième réaction est venue de Frédéric Massie, oenologue oeuvrant dans l'équipe de « Vignerons consultants », ex « Derenoncourt consultants ». Ce retour est une réponse technique pour pallier l'encombrante richesse alcoolique du merlot.
Depuis plusieurs années, Frédéric Massie et ses collègues revisitent l'intérêt de l'usage de la rafle du raisin et de ses mystères...